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Changement climatique, gouvernance numérique et engagement international : Retour sur ses missions clés en 2024
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Diplomatie parlementaire béninoise L’He ALIDJANATOU SALIOU-ARÊKPA REVIENT SUR TROIS MISSIONS EN 2024

Sous l’égide du président de l’Assemblée nationale, la diplomatie parlementaire béninoise ne s’est jamais mieux portée. Ce n’est pas la députée à l’Assemblée nationale du Bénin, 9ème législature, Alidjanatou Saliou-Arêkpa, membre du groupe parlementaire Bloc Républicain (BR), qui dira le contraire. En effet, cette dernière a pris part à trois missions parlementaires notamment à Monrovia au Libéria, à Addis-Abeba en Éthiopie et à Riyad en Arabie Saoudite. Aussi, faisait-elle partie de la délégation qui a accompagné le président de l’Assemblée nationale, Louis Gbèhounou Vlavonou à Kara au Togo dans le cadre de l’ouverture solennelle de la deuxième session ordinaire de l’Assemblée nationale du Togo, une session qui marque l’inauguration de la Première législature de la 5ème République togolaise.

MISSION PARLEMENTAIRE À MONROVIA SUR LE CHANGEMENT CLIMATIQUE
Du 17 au 19 juillet 2024, la députée Alidjanatou Saliou-Arêkpa, membre du groupe parlementaire Bloc Républicain, a pris part à Monrovia au Liberia, à la deuxième réunion parlementaire régionale d’Afrique de l’ouest sur le contrôle de la responsabilité et des rapports en action climatique. En effet, le changement climatique n’est pas sans conséquences sur l’Afrique. Pour la députée Alidjanatou Saliou-Arêkpa, cette rencontre de Monrovia fait suite à la première réunion parlementaire régionale d’Afrique de l’Ouest sur le changement climatique tenue à Lagos, au Nigéria quelques mois plus tôt.
“…Le rôle des parlementaires pour faciliter l’action climatique en exerçant efficacement leurs mandats législatifs, en particulier en matière d’affectation budgétaire, de représentation et de contrôle est devenu incontournable. En effet, le contrôle parlementaire peut garantir la transparence et la responsabilité en exigeant des rapports d’avancement réguliers et un contrôle minutieux de la mise en œuvre des interventions ; favoriser l’inclusion et la représentation en intégrant divers points de vue pour encourager une élaboration de politiques solides et globales grâce à des examens rigoureux ; et renforcer la gouvernance démocratique en reflétant la volonté de la population et en favorisant la confiance du public dans les actions du gouvernement…”, a t-elle dit. Cette réunion a été organisée par le Groupe africain d’appui aux experts négociateurs (AGNES), en partenariat avec le Parlement du Libéria, l’Agence de développement de l’Union africaine (AUDA-NEPAD), l’Institut national d’études législatives et démocratiques (NILDS), la Science de l’Afrique de l’Ouest Le Centre de services sur le changement climatique et l’utilisation adaptée des terres (WASCAL) et d’autres partenaires. Il a été question de nous sensibiliser sur les engagements nationaux et internationaux sur le changement climatique auxquels les pays ont souscrit, partager des expériences sur les outils et les approches utilisés pour superviser et suivre les progrès de la mise en œuvre des politiques climatiques et de l’action climatique, discuter des éléments clés des outils de surveillance et de suivi des progrès du Parlement en matière de climat responsabilité des actions et reportant.
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13ème FORUM ANNUEL AFRICAIN SUR LA GOUVERNANCE DE L’INTERNET EN ETHIOPIE
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13ème FORUM ANNUEL AFRICAIN SUR LA GOUVERNANCE DE L’INTERNET, ETHIOPIE
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13ème FORUM ANNUEL AFRICAIN SUR LA GOUVERNANCE DE L’INTERNET EN ETHIOPIE
La deuxième mission parlementaire effectuée à l’étranger par la députée Alidjanatou Saliou-Arêkpa était à Addis Abeba en République Fédérale Démocratique de l’Ethiopie où elle a pris part au 13ème Forum annuel Africain sur la gouvernance de l’internet. C’était du 20 au 22 novembre 2024. Le forum de cette année est organisé par la Commission économique pour l’Afrique (CEA), en collaboration avec le ministère de l’Innovation et de la Technologie d’Éthiopie et l’Union Africaine (UA).

Placé sous le thème « Construire notre avenir numérique multipartite pour l’Afrique ».; ce forum a réuni un groupe diversifié de parties prenantes pour discuter des questions urgentes liées à Internet et à la gouvernance numérique, dans le but d’identifier les principaux défis, les tendances émergentes et les opportunités dans le cadre de l’effort visant à construire une vision commune de l’avenir numérique de l’Afrique, en harmonie avec les objectifs de développement durable (ODD), les aspirations de l’Agenda 2063 de l’Union africaine « L’Afrique que nous voulons ». 

‘’…Les principaux sujets de discussion du forum ont porté sur la cybersécurité et la cybercriminalité, la gouvernance des données, les droits numériques et les droits de l’homme, la durabilité, l’accès universel, la connectivité significative et les technologies émergentes, notamment l’Intelligence Artificielle (IA)…”, a précisé la députée Alidjanatou Saliou-Arêkpa.

19ème FORUM DES NATIONS UNIES SUR LA GOUVERNANCE DE L’INTERNET EN ARABIE SAOUDITE

 “…Au Bénin, vous n’êtes pas sans savoir que depuis l’avènement du régime de la rupture, les parlementaires ont activement travaillé pour doter notre pays d’un arsenal juridique pour un usage responsable de l’internet. Je veux citer le vote du Code du numérique. Ce forum nous a permis de renforcer nos capacités dans le processus dans la poursuite des objectifs de cet accord international majeur sur notre avenir numérique…”, a dit la députée Alidjanatou Saliou-Arêkpa.

Après l’Éthiopie, la députée Saliou Alidjanatou Saliou-Arêkpa, a participé du 15 au 19 décembre 2024 à Riyad au Royaume d’Arabie saoudite au 19eme Forum des Nations Unies sur la gouvernance de l’Internet (FGI 2024) sous le thème général “Construire notre avenir numérique multipartite”. Le Forum des Nations Unies sur la gouvernance de l’Internet réunit différents groupes de parties prenantes afin de faciliter les débats sur les questions de politique numérique publique, telles que l’intelligence artificielle, la cybersécurité, la gouvernance des données et la coopération numérique. La participation des parlementaires se justifie par le fait qu’ils sont des acteurs clés. Ce fut l’occasion pour les participants d’échanger leurs points de vue sur les questions de politique numérique et d’échanger avec des experts, notamment du secteur privé, de la société civile, de la communauté technique et des pouvoirs publics.

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